mardi 28 septembre 2021

 Et je demeure là en suspens dans l'écrin de la nuit, à écouter le Piccadilly de Satie et à repenser à la solitude dans le Van Gogh de Pialat. Parfois on voit le monde à travers le truchement de l'art, et notre cœur reste au bord, incapable d'assouvir ses désirs artificiels. 

Le lieu de l'image. Je revois ces captures du film et je me dis que les personnages semblent presque dérobés à eux-mêmes, et la distance, l'espace entre eux, sont le crève-cœur ultime. & l'eau, & le blanc, & Auvers & la lumière ...






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